- L'avocate réfléchit à une tactique.
- Il y a un vol Air France pour Pékin aujourd'hui.
- Pas réussi à savoir si Air China fonctionne à 19h30
Par contre il y en aura sans doute trois demain et M. Zhang est expulsable jusqu'à demain vendredi 19H30.
DONC IL NE FAUT PAS RELACHER LA PRESSION
Fax de la Préfecture de Police de Paris : 01 53 71 67 23
Mail de la Préfecture de Police de Paris : prefpol.dpg-etrangers-
Et téléphone 01 53 71 53 71
(avec de nouveaux arguments sur le traitement indigne dont il a été victime
et la privation de son téléphone.)
A vos téléphones et à vos fax. M. Zhang ne doit pas être expulsé !
Merci de votre aide !
Proposition de fax mail
M. Zhang Jian Hai n'est pas un colis postal !
Ses droits et sa dignité doivent être respectés !
Monsieur le Préfet de police,
Nous venons d'apprendre que M. Zhang Jian Hai que vous avez déjà tenté d'expulser le jeudi 2 décembre 2010, s'est retrouvé hier mercredi 8 décembre menotté et les pieds attachés toute la journée. Durant toute la journée les
fonctionnaires de police qui l'accompagnaient lui ont confisqué son portable au mépris de ses droits les plus élémentaires.
Nous ne comprenons pas cet acharnement sur ce père d'un enfant de 10 mois, le petit Maxime.
Nous ne comprenons pas non plus cette façon de traiter un être humain comme un colis postal.
Comment pouvez-vous accepter qu'un homme soit porté comme un paquet par des fonctionnaires de police ?
Vous savez que M. Zhang habite en France depuis plus de 8 ans.
Vous savez que Mr Zhang a aussi dans ce pays ses 2 soeurs et ses deux beaux-frères.
Vous savez qu'il est l'oncle de sept neveux et nièces (Alexandre, Juliette, Delphine, William, Nathalie, Natacha et Robin) dont cinq sont scolarisés à Bagnolet et Herblay et deux sont nés il y a moins d'un an.
Donc, même si M. Zhang a perdu tous ses recours légaux, vous pouvez interroger votre conscience et user de votre pouvoir pour annuler votre décision.
Demandez-vous ce que vous feriez si vous on arrachait de votre famille. Ne tenteriez-vous pas alors de revenir en France ? Ne paieriez-vous pas un passeur une somme faramineuse pour revenir en France ? Ne vous endetteriez-vous pas pour des années, afin de revoir votre femme et votre enfant ?
Nous sommes sûrs que si vous vous posez honnêtement ces questions, et si vos services se les posent chaque fois qu'ils examinent un "dossier", vous prendrez la bonne décision qui consiste à libérer et régulariser ce père de
famille.
Nous vous prions de croire, Mr le préfet, en notre parfaite considération.
-- Salut et Fraternité
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